Le terme de « syndrome de l’imposteur » a été créé par Pauline R. Clance et Suzanne A. Imes, psychologues, en 1978. Elles l’utilisèrent pour qualifier un « doute maladif qui consiste essentiellement à nier la propriété de tout accomplissement personnel ». Ce syndrome est aussi appelé syndrome de l’autodidacte, phénomène de l’imposteur ou expérience de l’imposture. Loin d’être marginal, on estime aujourd’hui que 70% des personnes à l’échelle mondiale seraient touchées au cours de leur vie par ce syndrome. La crise du coronavirus a d’ailleurs révélé de nombreuses répercussions quant à ce sentiment d’imposture. Au Royaume-Unis, 85% des adultes actifs ont déclaré se sentir incompétents au travail depuis l’arrivée de la pandémie.
Pour en finir avec le syndrome de l’imposteur
janvier 14, 2023
Le Blog